2. La technique de la main droite

Veröffentlicht: 01.05.2014     Autor/in: Pascal Valois

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La guitare en France vers 1800

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Pascal Valois, "2. La technique de la main droite ". Forschungsportal Schola Cantorum Basiliensis, 2014.
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Exemple 1 — Charles Doisy, Principe généraux de la guitare (p. 12) [la lettre « p » représente le pincé du pouce et le « 2 », celui du majeur].

Quant à l’annulaire, il est possible de penser que la position normale limitait son utilisation. En effet, l’appui de l’auriculaire sur la table d’harmonie contraint un peu la liberté de mouvement de l’annulaire. Cela n’a cependant pas empêché les guitaristes de l’employer. En effet, il est utilisé dès l’époque de Bailleux (1773) dans les accords et les arpèges. Son emploi deviendra de plus en plus fréquent jusqu’à la fin de notre période. Ce développement trouvera son aboutissement chez Marescot, qui utilise l’annulaire de manière tout à fait naturelle, malgré qu’il tient l’auriculaire sur la table d’harmonie. À la mes. 1 de l’exemple 2, il joue le mi du 2e temps avec l’annulaire (numéroté « 3 » dans l’exemple), avant de reprendre l’alternance habituelle entre l’index (« 1 ») et le majeur (« 2 »).

Exemple 2 — Charles de Marescot, Méthode de guitare, Allegretto n°28, mes. 21‑22 (p. 25).

C’est aussi dans le domaine du pincé de la main droite que Ledhuy confirme une fois de plus son rôle d’innovateur. Il suggère dans son ouvrage d’utiliser l’auriculaire de la main droite pour pincer la 1re corde (ex. 3). Ledhuy trouve ici un débouché pour l’auriculaire qu’il a libéré en utilisant une posture copiée sur celle d’Aguado.

Exemple 3 — Adolphe Ledhuy, Méthode de guitare (v. 1827-1830) (p. 7).

Cependant, l’utilisation de l’auriculaire de la main droite ne survivra pas à Ledhuy. Comme Nelson Amos nous le confirme, même le très avant-gardiste Aguado s’est bien gardé de se rendre aussi loin et partageait en partie l’aversion de Sor pour le jeu avec l’annulaire. [25] Un autre Français s’est montré innovateur dans sa manière de concevoir le doigté de base. En effet, D. Joly propose dans sa méthode une stratégie d’utilisation de la main droite totalement inédite : chaque doigt est assigné à une corde et pince les notes qui sont sur cette corde jusqu’à ce qu’on doive changer de corde. Dans l’exemple 4, Joly oppose sa « nouvelle manière » (n° 3) au pincé avec le pouce seul (n° 1) et au pincé avec le pouce et l’index (n° 2).

Exemple 4 — D. Joly, L’art de jouer de la guitare (p. 11) [les points sous les notes correspondent aux doigts : 1 point représente le pouce, 2 points représentent l’index, etc.].

Comme la proposition de Ledhuy, l’innovation de Joly n’aura pas de lendemain. Il a au moins le mérite de fournir une méthode de doigté de la main droite entièrement systématique : « Comme elle est simple, naturelle, applicable à tous les traits possibles […] on ne pourra (ce me semble) me blâmer de la proposer aux amateurs. »  [26] Nous voyons donc que, dans l’application générale du principe de doigté de la main droite, le pragmatisme des débuts a progressivement cédé le pas à l’académisme de l’attribution typique, avant de faire place à la course à l’innovation de Joly et de Ledhuy. De même, l’utilisation seule des trois premiers doigts chez Corette (1762) n’a pas résisté à la marche du progrès. En effet, l’usage intensif du pouce de la main droite a progressivement fait place au développement du jeu avec l’annulaire.

Exemple 5 — Louis-Ange Carpentras, L’art de pincer la guitare, op. 16 (v. 1823-1830) (p. 8) [la lettre « A » correspond au pouce, la lettre « B » à l’index, etc.].

En passant à la 3e corde (sol, mes. 2), Carpentras quitte l’alternance entre le pouce et l’index pour favoriser l’alternance entre l’index et le majeur, ce qui est probablement l’approche la plus utilisée pour les passages mélodiques. Néanmoins, Carpentras continue à respecter l’accentuation en plaçant le majeur sur les temps forts. Ce dernier est en effet considéré comme étant plus sonore que l’index. Cette technique renvoie probablement à la pratique du silence d’articulation de l’époque baroque. Ce type de jeu consiste à mettre une note en valeur en diminuant l’intensité de la note qui précède. L’approche conservatrice de Carpentras se trouve un peu en décalage avec les pratiques de ses collègues français qui à cette époque, sont plutôt alignés sur les Italiens. L’approche la plus généralisée, telle que préconisée par Carulli et Carcassi, consiste en effet à pincer les notes sur les cordes graves avec le pouce et utiliser l’alternance entre l’index et le majeur pour les trois cordes aiguës. Un autre italien, Molino, reste néanmoins muet sur la question. L’exemple 6 reprend la démonstration de Jean-Baptiste Bédard à ce sujet.

Exemple 6 — Jean-Baptiste Bédard, Troisième et nouvelle méthode, op. 83 (s.d.) (p. 28), [le chiffre « 1 » sous la note correspond au pouce, le chiffre « 2 » à l’index, etc.].

Cette règle, que l’on retrouve chez Bailleux dès 1773, demeurera en vigueur jusqu’à la fin de notre période d’étude chez la plupart des guitaristes français et étrangers.

Exemple 7 — Antoine Marcel Lemoine, Nouvelle méthode de guitare à l’usage des commençans (v. 1807-1812), « Exemple des différents pincés » (p. 16).

Malgré la valeur didactique que Trille LaBarre accorde aux exercices d’arpèges, il y voit une fonction encore plus importante : « Les batteries sont un objet essentiel sur la guitare, tant pour l’accompagnement que pour l’exécution de musique, et c’est sur cet article que l’écolier doit mettre toute son application pour s’y rendre très familiar. » [35] L’accompagnement constitue en effet la deuxième raison d’être d’une aussi grande quantité d’arpèges dans les méthodes de guitares. À l’inverse, les méthodes des Italiens, comme Carulli et Carcassi, préconisent très tôt l’apprentissage de courtes pièces de musique par les élèves plutôt que d’insister sur la pratique des arpèges (Carulli note quand même que l'élève doit s'exercer à faire les arpèges avec beaucoup de vitesse). Nous croyons que le choix éditorial des Français découle de l’importance du chant dans la société française, ainsi que de la mode de la romance à Paris. En effet, si LaBarre et, plus tard, Gatayes, ont joué des rôles de premier plan dans la vogue de la romance dans le Paris du début du XIXe siècle, peu de guitaristes ont résisté à l’appel du genre. Dans l’introduction de sa 2e Méthode de guitare, Gatayes donne une description de l’accompagnement qui explique en partie l’importance que cet art revêt en France:

  1. On nous assure que c’est aux Espagnols que nous devons la guitare; je ne contrebalance pas cette opinion; mais j’ose avancer que cette nation n’est pas celle qui fait valoir cet instrument. En général pincer de la guitare à l’espagnole n’est pas la manière la plus agréable. Communément ils la font chaudronner, vu qu’ils n’exécutent cet instrument qu’en passant et repassant le pouce sur les cordes, sans ménagement, sans nuances et sans principes. Dira-t-on que c’est en Italie que cet instrument est à sa perfection? C’est encore ce dont je ne conviendrai nullement : les Italiens sacrifient l’instrument à leurs voix, ils chantent d’une manière divine; ils ont trop de tact dans l’art musical, pour ne pas sentir qu’un accompagnement chargé ne pourrait se marier avec les broderies de leur chant […] ce n’est qu’en France que cet instrument a tout son charme, sa grâce, sa pureté et sa sensibilité. [36]

Gatayes ne tient pas compte ici de la subtilité des œuvres espagnoles pour guitare et voix, par exemple les nombreuses seguidillas de Fernando Sor. Nous inférons plutôt de ce passage le lien étroit qui existait entre les guitaristes français et l’accompagnement, ce dont nous parle encore Gatayes dans une méthode publiée plus tôt:

  1. Séduire, plaire, émouvoir, sont les premiers charmes de la musique; et la guitare a, dans ce genre, un grand empire, quand elle accompagne la voix, comme j’entends qu’elle doit accompagner. Il est très peu de personnes qui fassent bien les accompagnements; ceux-ci sont insipides par des batteries trop répétées; dans ceux-là, on se démanche le bras et les doigts pour saisir des accords barrés, qui, s’ils vibrent, ne vibrent qu’aux dépens de la voix, qui est contrainte de faiblir, ou de s’arrêter par les contorsions que l’on est obligé de faire. [37]

Gatayes nous démontre ici qu’un bon accompagnateur doit avoir la souplesse d’harmoniser sa partie avec celle du chanteur. Dans ce contexte, la maîtrise d’une quantité substantielle de formules d’arpèges devient un précieux atout. Les harpistes, sollicités comme les guitaristes pour l’accompagnement des romances, devaient aussi y exceller pour s’adapter au caractère de la pièce:

  1. Lorsqu’une ariette a plusieurs couplets, après avoir exécuté le premier ou tout au moins plusieurs mesures du premier en accords plaqués […], on peut employer celles des variations [arpèges] dont nous allons parler qu’on croit susceptible de faire le meilleur effet d’après le caractère de l’ariette que l’on accompagne; ce à quoi on ne peut être déterminé que par le gout. [38]

Le métier d’accompagnateur requiert donc une grande connaissance des arpèges. En troisième lieu, les arpèges interviennent constamment dans le répertoire des guitaristes français. Bien que l’affinité des Français avec les arpèges trouve probablement ses racines dans le phénomène de l’accompagnement, cette forme d’écriture s’est également implantée dans les œuvres instrumentales pour guitare. Les auteurs français utilisent en effet les arpèges de manière plus poussée que les Italiens et les Espagnols. Danielle Ribouillault nous rappelle d’ailleurs l’antipathie de Sor pour cette forme d’écriture : « Il prône ainsi un autre type d’écriture (beaucoup plus riche) pour son instrument, méprisant un usage qui n’en continue pas moins parallèlement. » [39]

Chez les Français, les arpèges apparaissent souvent dans un contexte associé à la virtuosité et les figurations s’avèrent parfois être très complexes. Par exemple, Louis-Ange Carpentras n’hésite pas à utiliser deux types de formules d’arpèges très rapprochées, en tant que procédé d’amplification pour mener à la cadence finale du 1er mouvement, aux mes. 213 et 214 de sa Sonate brillante, op. 1 (ex.8).

Exemple 8 — Louis-Ange Carpentras, Sonate brillante, op. 1 (1816), « 1er mouvement », mes. 208-229 (p. 4).

La virtuosité n’est cependant pas le seul débouché de l’arpège dans la musique française. Charles Doisy nous parle de l’importance des arpèges dans l’écriture guitaristique : « L’arpège est inséparable de la guitare, parce que, ne pouvant qu’avec peine, en tirer des sons prolongés, on est forcé, principalement dans les accompagnements, dont surtout le mouvement lent, de battre toutes les notes de l’accord afin d’en éviter la sécheresse. » [40] Doisy met ici en relief le peu de sonorité qu’offre l’instrument à la fin du XVIIIe siècle, ainsi que les moyens de pallier les insuffisances sonores. Dans son Grand concerto pour la guitare (ex. 9), Doisy nous donne d’ailleurs un exemple de l’efficacité des arpèges dans un mouvement lent. Dans cet exemple, il utilise également des formules d’arpèges, combinées à des effets de corde à vide, dans la cadence à la mes. 38.

Exemple 9 — Charles Doisy, Grand concerto pour guitare et cordes (s.d.), 2e mouvement, mes. 35-42 (p. 8).

Dans certaines pièces, le type d’arpège à employer était laissé au goût de l’interprète. Par exemple, Louis-Ange Carpentras note l’indication « Arpeg[ia]to ad libitum » sous une série d’arpèges simples dans son arrangement pour guitare seule de La Gazza ladra de Rossini[41] Les guitaristes français semblent donc se fier à la capacité des amateurs à ajouter le type d’arpège approprié à une pièce dont ils ne sont pas les auteurs. Ce genre de pratique pourrait constituer un résidu du jeu en arpèges associé aux instruments à cordes pincées du XVIe siècle au XVIIIe siècle. Roland Jackson affirme que l’arpègement était à ces époques utilisé fréquemment comme ornement au luth, au clavecin et à la guitare. [42]

L’évolution du doigté de l’arpège correspond à celui de la gamme. En effet, après avoir utilisé principalement le pouce, l’index et le majeur pour l’exécuter vers 1770, les guitaristes ont eu, au fil des années, de plus en plus recours à l’annulaire. Malgré ce développement technique, Gatayes présente toujours, à la fin des années 1820, des versions à trois doigts (sans annulaire) ou à quatre doigts (avec annulaire) du même arpège. [43] Parallèlement, un nouveau type d’arpège prend de l’importance chez les guitaristes à partir de 1799, comme chez Phillis. [44] Cette formule inclut deux nouvelles techniques connues sous les noms de « coulé du pouce » et « coulé de l’index ». Dans ce contexte, le mot « coulé » réfère tout simplement au fait d’employer le même doigt de la main droite sur deux cordes consécutives. Une courbe de liaison couvre les deux premières notes de l’arpège (coulé du pouce) et les deux dernières (coulé de l’index). Bien qu’il fût largement employé dans notre période, cette technique constitue une erreur pour les guitaristes d’aujourd’hui, dont un des principes fondamentaux pour la main droite est de ne jamais pincer deux cordes adjacentes avec le même doigt. Carpentras en fait usage aux mes. 10 et 11 de l’exemple 10.

Exemple 10 — Louis-Ange Carpentras, 1er Nocturne concertant pour flûte et guitare (v. 1823-1830), mes. 10-11 (p. 2).

Un autre type d’arpège que l’on retrouve surtout chez les guitaristes français et rarement chez les étrangers est celui où le pouce et l’index de la main droite pincent la même corde. Bien qu’elle semble être simple, l’exécution de cette formule demande beaucoup de contrôle digital de la part de l’exécutant. Nous retrouvons cette technique, entre autres, dans la première des Trois sonates pour la guitare, op. 17, de Pierre-Jean Porro. Dans l’exemple 11, l’arpège en question se retrouve aux mes. 126 à 128.

Exemple 11 — Pierre Jean Porro, Trois sonates pour la guitare, op. 17 (s.d.), 1re sonate, 3e mouvement, mes. 122-129 (p. 4).

Les guitaristes français semblaient donc s’attendre à une excellente maîtrise de la technique des arpèges de la part des interprètes. Cette compétence était requise autant pour varier l’accompagnement d’une romance ou pour exécuter un passage difficile du répertoire que pour générer du matériel musical dans les cadences improvisées. Ce qui pouvait passer pour du remplissage insipide chez les étrangers était donc traité de manière subtile, variée et complexe chez les guitaristes français.

[1]

James Tyler, The Early Guitar : A History and Handbook (Londres : Oxford University Press, 1980), 81.

[2]

Ibid.

[3]

Paul Wathen Cox, « Classic Guitar Technique and Its Evolution as Reflected in the Method ca. 1770-1850 » (thèse de doctorat, Indiana University, 1978), 141.

[4]

Trille LaBarre, Nouvelle méthode pour la guitare (Paris : Leduc, v. 1797-1801), 21.

[5]

Prosper Bigot, Principes et exercices pour la guitare (Paris : Jouve, v. 1810-1818), 3.

[6]

James Tyler et Paul Sparks, The Guitar and Its Music : From the Renaissance to the Classical Era (Oxford et New York : Oxford University Press, 2002), 261.

[7]

Erik Stenstadvold, « Antoine de Lhoyer », Soundboard 29, no3 (2003), 24.

[8]

Adolphe Ledhuy, Essais sur la lyre-guitare ou description méthodique de la lyre-organisée (Paris : Savary et Porro, s.d.), 15.

[9]

Erik Stenstadvold, « The Evolution of Guitar Notation, 1750-1830 », Soundboard 31, no2‑3 (2006), 12.

[10]

Adolphe Ledhuy, Essais sur la lyre-guitare, 15.

[11]

Adolphe Ledhuy, Méthode de guitare (Paris : Meissonnier, v. 1827-1830), 1.

[12]

Eustache Berat, La Sauteuse montagnarde (manuscrit), 3.

[13]

Corbelin, François Vincent. Méthode de harpe (Paris : Corbelin, 1779 ; réimpression, Courlay : Fuzeau, 2002), 11.

[14]

Pierre Jean Baillon, Nouvelle méthode de guitare selon le système des meilleurs auteurs (Paris : Baillon, 1781; réimpression, Genève : Minkoff, 1977), 3.

[15]

Prudent Louis Aubery du Boulley, Méthode pour la guitare (Paris : Richault, v. 1824), 5

[16]

Jean-Baptiste Phillis, Nouvelle méthode pour la lyre ou guitare (Paris : Pleyel, 1799), 1-2.

[17]

Guillaume Pierre Antoine Gatayes, Méthode pour la guitare simple et facile à concevoir, op. 8 (Paris : Janet et Cotelle, v. 1824-1837; réimpression, Courlay : Fuzeau, 2003), 5

[18]

Charles Doisy, Principes généraux de la guitare (Paris : Doisy, 1801; réimpression, Genève : Minkoff, 1979), 12.

[19]

Ibid, 9.

[20]

Phillis, Nouvelle méthode, 1.

[21]

Antoine Marcel Lemoine, Nouvelle méthode de guitare à l’usage des commençans (Paris : Lemoine, v. 1803-1804; réimpression, Courlay : Fuzeau, 2003), 13.

[22]

Michel Corette, Les dons d'Apollon, méthode pour apprendre facilement à jouer de la guitare (Paris : Bayard, Lachevardiere et Castagnerie, 1762; réimpression, Courlay : Fuzeau, 2003), 10.

[23]

Antoine Bailleux, Méthode de guitare par musique et tablature (Paris : Bailleux, 1773; réimpression, Genève : Minkoff, 1972), 7.

[24]

Doisy, Principes généraux de la guitare, 12.

[25]

Nelson Amos, « The Suppression, Liberation, and Triumph of the Annular Finger : A Brief Historical View of Right-Hand Guitar Technique », Soundboard 21, no4 (1995) : 12.

[26]

D. Joly, L’art de jouer de la guitare (Lille : Bohem, 1820), 11.

[27]

Baillon, Nouvelle méthode de guitare, 54.

[28]

Ledhuy, Méthode de guitare, 14.

[29]

Tyler, The Early Guitar, 78.

[30]

Doisy, Principes généraux de la guitare, 63.

[31]

Louis-Ange Carpentras, L’art de pincer la guitare (Paris : Dufaut et Dubois, v. 1825‑1830).

[32]

Antoine Marcel Lemoine, Nouvelle méthode de lyre ou guitare à six cordes (Paris : Lemoine v. 1807-1812), 5.

[33]

Danielle Ribouillault, « La technique de la guitare en France dans la première moitié du 19e siècle » (thèse de doctorat, Université de Paris-Sorbonne, 1981), 203.

[34]

Trille LaBarre, Nouvelle méthode pour la guitare (Paris : Leduc, v. 1797-1801), 39.

[35]

LaBarre, Nouvelle méthode, 39.

[36]

Guillaume Pierre Antoine Gatayes, Deuxième méthode de guitare, 3e éd. (Paris : Brullé, v. 1841-1854), 2‑3.

[37]

Gatayes, Méthode pour la guitare, 1.

[38]

Méthode de harpe (Paris : Boüin 1787 ; réimpression, Courlay : Fuzeau, 2002), 219.

[39]

Ribouillault, « La technique de la guitare en France », 202.

[40]

Doisy, Principes généraux de la guitare, 12.

[41]

Louis-Ange Carpentras, Ouverture de la Gazza ladra, arrangée pour guitare seule ou Lyre (Paris : Janet et Cotelle, 1822), 11.

[42]

Roland Jackson, Performance Practice : A Dictionary-Guide for Musicians (New York et Londres : Routledge, 2008), 16.

[43]

Gatayes, Méthode pour la guitare, 14.

[44]

Phillis, Nouvelle méthode, 27.